Ça me révolte.
Je ne vois pas en quoi l'orientation sexuelle (voir toute autre liée à la vie privée de l'individu) est un mensonge lors d'un entretien d'embauche s'il est omis (de toute manière, les questions touchant la vie privée doivent être banis d'un entretien).
Une embauche doit se baser uniquement sur des critères professionnels.
J'ai eut le cas sur ma situation familiale (divorcé) lors d'un entretien d'embauche (en 1998, un emploi proposé par ManPower... ils avaient d'ailleur eut écho de ce qui s'y était passé), a savoir : "qu'est ce qui a causé cette séparation ? Vivez-vous toujours seul ?" (franchement indiscret à mon gout et hors propos lors d'un entretien).
Ma réponse (mais ce n'en était pas une) avait été : "vous êtes marié ? vous avez des enfants ? combien de relations sexuelles avez-vous par semaine ? votre ménage vous suffit-il ou allez-vous voir ailleur ?"...
Je peux vous assurer qu'il y avait eut un blanc. Puis je m'étais levé et avais dit "Au revoir" (sans me retourner).
Pour en revenir au post, j'espère que cette journaliste aura gain de cause et qu'elle touchera pour dommage et intérêt / licenciement à caractère homophobe, un dédommagement de (par exemple) 100.000 euros !